Rencontre avec Dr Charline BOISSY, de l’intersyndicale ReAGJIR
Le 17 mars dernier, les syndicats de jeunes médecins (ANEMF, ISNAR-IMG, ISNCCA, ISNI, ReAGJIR , SNJMG) signaient un communiqué de presse commun, afin de signaler leur volonté d’être eux aussi acteurs des négociations conventionnelles. Ces dernières rassemblent, en effet, les acteurs du monde médical libéral, à savoir les cinq structures sy
Le 17 mars dernier, les syndicats de jeunes médecins (ANEMF, ISNAR-IMG, ISNCCA, ISNI, ReAGJIR , SNJMG) signaient un communiqué de presse commun, afin de signaler leur volonté d’être eux aussi acteurs des négociations conventionnelles.
Ces dernières rassemblent, en effet, les acteurs du monde médical libéral, à savoir les cinq structures syndicales représentatives, l’UNCAM et l’UNOCAM. Seul bémol : l’absence des syndicats de jeunes médecins, qui, n’ayant pas été élus aux URPS, ne sont pas représentatifs et ne peuvent ainsi être signataires de la nouvelle convention.
Pourtant, il parait évident que l’avenir de la médecine libérale ne peut s’écrire sans l’intervention de la jeune génération, qui exercera demain. Pour en apprendre plus sur ces enjeux, nous avons rencontré Dr. Charline Boissy, porte-parole de l’intersyndicale ReAGJIR : Regroupement Autonome des Généralistes Jeunes Installés et Remplaçants.
Voici les questions abordées :
1. Comment qualifieriez-vous les relations de réagjir avec les syndicats “seniors” ?
2. Quelles sont vos propositions concrètes en réponse aux problèmes de démographie médicale ?
3. Les jeunes médecins ont-ils un rôle à jouer dans les négociations conventionnelles actuelles ?
Pour en apprendre plus sur l’actualité de ReAGJIR rendez vous sur leur site.
Texte : pg / esanum
Photo : esanum